Fin février, avec la guide Marine Clarys, nous avons gravi la très belle voie « Histoire d’eau » au Baou de Saint-Jeannet.
6ème longueur, un rocher rempli de gouttes d’eau et de crépi.
Alpinisme, escalade, ski de randonnée, cascade de glace, randonnée pédestre, Mercantour
Fin février, avec la guide Marine Clarys, nous avons gravi la très belle voie « Histoire d’eau » au Baou de Saint-Jeannet.
6ème longueur, un rocher rempli de gouttes d’eau et de crépi.
Avec Ethan et Thomas, après leur journée des « fondamentaux en alpinisme » à Saint-Jeannet, nous nous dirigeons vers le « pilier du feu sacré » dans le massif de l’Estérel. C’est une voie de même acabit, en plus courte, que la très belle « Echine du dragon ».
Ici, l’escalade est accessible, de niveau 6a max. C’est une ascension roulante, dans un cadre idillyque : mer bleu profond, rhyolite ocre et température printanière.
Dimanche 13 mars, dans le cadre de la formation alpinisme, nous avons gravi le couloir NO de Peïrastrèche.
La Cougourde, blanchie, par une petite chute de neige nocturne.
Toujours dans le cadre de la formation alpinisme, fin février, avec Anthony et Cyril, nous avons parcouru l’arête Nord du Cayre Archas.
Dans le cadre de la formation alpinisme, nous avons gravi 2 fois le couloir Nathalie au Pélago (2768m) dans les 10 premiers jours de mars.
L’alpinisme est bien particulier en cet hiver si sec. Néanmoins, de nombreux itinéraires sont en bonnes conditions.
Arrivée sur l’arête du Pélago pour Nathan et Thomas.
Dimanche 13 février, avec 3 alpinistes issus de la formation Guides06, nous avons suivi l’élégante arête du Pas du Loup.
Fin décembre, les températures s’envolent et la neige déjà rare, se tarit encore plus dans les versants ensoleillés.
Avec Clément et Nicolas, nous hésitons entre plusieurs objectifs, les 2 degrés au parking de la cascade de glace du Boréon nous incitent à viser le couloir de Peïrastrèche. Quelques centaines de mètres après le départ, les températures remontent, nous étions juste dans la fameuse fosse à froid.
Heureusement, j’ai un plan B en tête ou plutôt l’envie réelle de gravir l’éperon en rive droite du couloir de Peïrastrèche.
Sur l’image ci dessous, on voit bien le tracé de la voie, la photo date de plusieurs années en arrière.
En cette journée très douce de décembre, nous avons gravi avec Julien « Vertige de l’amour », une très belle voie que nous avions ouverte avec le guide Bernard Duterte en 2009.
5ème longueur, un 6c de rési et de continuité, ce serait une superbe longueur en falaise, en grande voie c’est un bijou!
En 2011, j’étais parti avec 2 clients de Guides06 et je n’avais pas réussi à franchir les ressauts enneigés de cette arête esthétique. L’idée d’y retourner était bien présente et ce début d’hiver sec a ravivé l’envie de ce projet.
Le 19 décembre, avec le guide Cyrille Pontoizeau et 5 clients de la formation alpinisme de Guides06, nous nous mettons en route pour cette petite aventure.
Comme nous ne connaissons pas bien l’itinéraire, nous réalisons volontairement le départ par la pente herbeuse dominant la piste de ski d’Isola 2000, droit au dessus de la balise 91 et menant au point 2501. Puis une croupe enneigée nous conduit au point 2606. Jusqu’ici ce n’est que de la marche avec 100m d’arête où il faut s’encorder, désescalader et gravir un ressaut. Du point 2606, nous voyons bien l’arête, elle est sèche dans les parties redressées et mixte dans les zones plus planes.
Sur l’arête de Combe Grosse, le premier gendarme à contourner par la gauche.
Le 17 décembre, avec Marion, nous avons parcouru le couloir du Yéti.
Cet itinéraire a été ouvert par Selena Blineau et Guillaume Jacquemin en décembre 2016 dans des conditions de neige plutôt abondantes. Avec Marion, en ce début d’hiver sec, l’itinéraire présentait un aspect bien différent.
Samedi 11 décembre, avec Yannick, nous avons gravi le couloir SW du Pélago, c’est à dire exactement le couloir de la voie normale.
Notre projet initial était de gravir le couloir Nathalie mais la neige nous semblait bien inconsistante dans le versant Ouest. Nous avons opté pour les pentes plus ensoleillées pour viser une neige déjà humidifiée / regelée.
Début décembre, avec Marion, nous avons profité d’une belle journée d’hiver pour traverser les Cayres Nègres du Mercantour du sud au nord, au départ du Boréon.
Nous avons d’abord remonté en randonnée le « Serre des Gardes », vaste échine tantôt herbeuse, tantôt boisée sur laquelle paissent de nombreux chamois.
Début août, avec Yves, nous avons réalisé l’ascension de l’éperon Nord Ouest du Pélago dans son intégralité.
Cette voie est classiquement parcourue pour sa partie inférieure, aboutissant au Triangle du Pélago. C’est la plus grimpante et la plus équipée.
Au dessus, c’est un terrain d’aventure de niveau D.
Le rocher est globalement bon, un jeu de friends du 0,3 au 2 permet de se protéger convenablement. Un encadrement à 30 m est suffisant.
Du sommet du Pélago (2768m) la vue est panoramique sur le massif du Mercantour et de l’Argentera.
Yves étant un partenaire de cordée particulièrement efficace, nous avons réalisé l’itinéraire en 7h aller retour au départ du gîte du Boréon. Il faudra en compter plutôt une douzaine à un rythme normal.
Yves dans l’ascension de l’éperon NO.
Début février, avec Mathias Greyer, nous avons gravi la voie ouverte à l’été 2020 par Marc Gamio, Jean Gounand et Patrick Reybaut sur la Pointe Edith. 6b obligatoire, 150m
Mathias dans L3, la longueur clé du fait de son exposition.
Magie de la Côte d’Azur, nous skions à 1h15 de Nice et nous grimpons au soleil face à la mer à Saint-Jeannet!
Avec Julien, nous avons gravi la voie Malet dans de bonnes conditions.
Au centre de l’itinéraire, nous avons emprunté les 2 belles longueurs en 6a de la Supermalet.
Depuis le 20 décembre, nous profitons d’un bel enneigement dans notre massif. Les températures froides permettent de skier sur un manteau poudreux au dessus de 1800m en versant Sud, 1600m en versant Nord.
Cet été, au gré de nos disponibilités, nous avons parcouru avec Marine-Alizée quelques voies d’escalade dans le Mercantour et en Ubaye.
Sur l’antécime du Cayre Colomb
La tempête Alex a sévit dans les vallées de la Vésubie et de la Roya le 2 octobre 2020 avec une violence qui dépasse la raison. Les images disponibles sur les divers médias montrent une version atténuée de la réalité. Sur place, c’est plus impressionnant encore.
Au Boréon, comme plus bas dans la vallée, la puissance de l’eau a creusé de profonds ravins dans les cours d’eau, balayé des maisons et emporté une grande partie du réseau routier, eau potable et électricité.
Pourtant…
Pourtant grâce aux formidables moyens mobilisés et à l’énergie déployée par chaque acteur de cette reconstruction, nous, habitants des vallées alpines avons à coeur de relancer nos activités sociales, économiques.
Dans cette perspective, nous ouvrirons sur réservation le gîte du Boréon cet hiver. L’accès se fera vraisemblablement à pieds, en skis ou en raquettes en utilisant la piste à 4×4 depuis le Pont Maïssa.
Par chance, le bâtiment du gîte a été épargné des dégâts matériels.
Sur place, nous aurons le courant grâce à des groupes électrogènes et l’eau via un captage dans le torrent voisin.
Le gîte pourra ainsi servir de camp de base pour les activités alpines des Guides06.
Du 11 au 16 février, avec Magali, Marine-Alizée et Jacques, nous nous sommes offerts un petit séjour dans le désert du Wadi Rum.
Au programme, de la belle escalade, aventureuse, des bédouins sympas et forcément des vues à couper le souffle.
Dimanche 8 décembre, avec Céline et Guillaume, nous avons réalisé une initiation au ski de randonnée dans le Valdeblore, en limite du parc national du Mercantour.
Le 4 août 2019, avec Piotr, Camille et Thor, nous avons gravi la cime sud de l’Argentera (3297m) depuis le Boréon. Nous partons à 5h du gîte d’étape du Boréon (1530m). En 3h30, nous gagnons le col du Guilié (2690m) .
Jeudi 4 avril, les chutes de neige ont déposé 40 cm à Saint-Dalmas le Selvage. Benjamin, féru de ski, m’engage pour une sortie ski de randonnée en poudreuse.
Ski de randonnée autour de Freissinières
Du 17 au 19 mars, avec un groupe de 7 skieurs, nous avons rayonné en étoile autour de Freissinières.
Le premier jour, nous skions au col de Vars et à la Tête du Crachet.