Alpinisme, escalade, ski de randonnée, cascade de glace, randonnée pédestre, Mercantour
Les conditions météo ont été mauvaises.
Les remontées mécaniques sont restées fermées même les télécabines pour descendre sur le Mer de Glace.
Dommage pour les participants, on n’a pas pu faire comme l’an passé.
Un pont du train de Montenvers nous a servi d’ancrage pour les exercices.
Elle est surement moins classique car elle est loin en jeep (environ 50mn) et isolée.
Tout le monde s’entasse dans le deuxième 4*4 de Salim pour aller au pied de la voie.
Sur l’arête sommitale. Le Corno Stella et l’Argentera paraissent tout proches.
Si dans notre groupe, Régis, Christophe et Pierrick ont l’habitude des trails en montagne pour d’autres c’est un peu plus dur.
Peu importe, après une pause au milieu de la voie, nous nous retrouvons tous au sommet.
L’itinéraire est en très bonnes conditions.
Le couloir de descente est en poudreuse et nous nous sommes laissés glisser sur les fesses.
Un bon culing et hop! en bas!
Approche en raquettes ou en skis, les deux fonctionnent bien. Mais pour le retour, le ski procure un léger avantage…
Avec le vent qui a soufflé les jours précédents certaines portions étaient presque en glace.
A l’inverse dans les zones de dépôt la neige est molle.
Cette course est très variée, assez longue à cause de l’approche notamment.
En raquettes nous avons mis un peu moins de 9h voiture à voiture.
La route est déneigée jusqu’à parking de la Lèche.
Dans le couloir initial avant d’arriver à la brèche.
Nous avions repéré une deuxième ligne orienté Nord, avec une ligne de dièdres assez évidente.
Nous n’avions pas prévu d’ouvrir une voie durant le séjour, donc ca sera avec 2 jeux de friends jusqu’au numéro 4, une jeux de stopper et des sangles.
C’est Benjamin qui se lance dans L1, un 4+ dans du bon rocher de 55m.
Ensuite les choses se corsent, avec une deuxième longueur pas évidente, qui débute par un passage en « offwidth ».
C’est Benjamin qui s’y colle, avec une bonne technique d’offwidth grace à son voyage au Yosemite en automne.
Chahbit suit la ligne de dièdre au centre de la photo pour venir buter sous les suplombs que l’on passe par la gauche.
Pour la descente nous avons pris la classique Hammad’s route.
Dans le Wadi Rum des bedouins nous emménent où l’on veut avec leur Toyota qui ont pour la plupart une bonne trentaine d’années, comme celui de Salim!
Sylvie s’éclate dans le haut du couloir du Requin.
Sylvie s’éclate dans le haut du couloir du Requin.
J1: The Beauty, la classique incontournable
J2 et J3: la traversé W/E du Jebel Rum par Sabbah’s Route
J4: pendant que le reste du groupe est allé visiter Petra, avec Benjamin nous avons ouvert Chahbit, 5 longueurs 200m et 6b max en terrain d’aventure
J5: The Haj la plus belle
On va commencer par la premiére voie du séjour: The Beauty.
C’est LA classique du Wadi Rum, 5 belles longueurs en 5+/6a avec un accés magnifique par des canyons.
Tout le monde se dirige vers le Jebel Um Ishrin, le massif en face du camping où se trouve The Beauty
Gabriel Bernard, Damien Carati et David Fulconis ont équipé ces nouvelles voies de dry.
Quelques infos de Gabriel :
« Rocher très très médiocre / équipement maison /cotations à confirmer.
Attention au gros cigare en montant dans le petit couloir, il menace de s’effondrer (volume évalué à 80 90 m3).
Possibillité de terrasser sur la gauche en arrivant sous le gros cigare cordelette orange sur un spit endroit en sécurité. »
Pour l’accès : emprunter la route enneigée jusqu’à dépasser la classique cascade de droite.
Le spot est situé sous la forêt, juste au dessus de la rivière.
Descendre peu après dans le court vallon et traverser la rivière.
Pas facile pour ma part de faire des photos en l’air, en voici une du décollage d’Aguergour.
Au sud de Marrakech, Aguergour est la valeur sûre avec ses thermiques en plaine le matin et le vol dynamique l’après midi. Le célèbre gîte d’Ahmed est à la hauteur de sa réputation.
A Ait Barka, nous n’avons pas volé à cause d’un vent arrière. Prévoir une navette de voiture pour retrouver l’attero. Le gardien en haut des antennes est accueillant mais ne sait pas conduire.
A Ait Ourir nous avons pu volé en soaring. Attention, le décollage est musclé et arrache bien le pilote, même dans un vent laminaire à 20-25 km/h. Une orientation nord ouest ou ouest est idéale pour ce site.
En attendant que le vent vienne de face, les pilotes jouent au sol avec l’Atlas dans le dos.
Dans cet hiver mouvementé nous avons eu la chance de profiter d’une belle journée :
Thomas et moi sur la cascade de droite avec les jeunes du CAF de Nice.
Il devait y avoir un groupe de la Ferme Giaume, mais, peu avant Isola, leur voiture a reçu un rocher sur l’arrière de la voiture!!
Même s’il n’y a eu que des dégâts matériels ce groupe n’a pas pu rejoindre Saint-Dalmas le Selvage …et pour cause!
Il y a toujours 6 lignes grimpables sur la cascade de droite:
Nous sommes passés par le lac des Grenouilles mais une autre trace de montée passe aussi par la croupe sud plus raide et plus directe.
Près des cols et des crêtes le vent a soufflé et la neige est irrégulière.
Nous sommes passés par le lac des Grenouilles mais une autre trace de montée passe aussi par la croupe sud plus raide et plus directe.
Près des cols et des crêtes le vent a soufflé et la neige est irrégulière.
Mercredi 24 février 2010, avec Jean-Pierre nous avons fait le tour :
Col de Frémamorte 2604m- Piano della Casa del Ré 1750m – col de Cerise 2543m.
Jean-Pierre sous la Pointe de Rogué 2435m :
