Alpinisme, escalade, ski de randonnée, cascade de glace, randonnée pédestre, Mercantour
Dimanche 25 novembre 2018, avec Elia et Sean nous avons parcouru la Directissime TD, 6a+ maximum.
Le grain fin du rocher et la raideur de la voie font que même avec un niveau supérieur, la Directissime reste un itinéraire superbe où on s’ennuie rarement !
Quand ça déroule dans la Directissime, bien des parois alpines s’envisagent plus sereinement.
Vendredi 16 novembre 2018, avec Yves nous avons parcouru la Super Malet 250 mètres, TD, 6a maximum.
Grande classique de la Grande face du Baou de Saint-Jeannet toujours chouette à grimper.
Yves juste au-dessus de la petite grotte au début de la Super Malet proprement dite :
Dimanche 26 août 2018, avec Paul nous avons parcouru la voie Malet D+, 220 mètres au Baou de Saint-Jeannet.
En partant du village un peu avant 08h nous avons grimpé à l’ombre quasiment toute la voie.
Grande classique ouverte par le grand alpiniste Marcel Malet en 1940, même si le rocher est usé par endroit, c’est toujours une joie de partir sur les traces des pionniers qui se sont ingéniés à s’insinuer dans les passages les plus simples.
Merci à David Gueyffier pour son tracé précis ci-dessous :
Dimanche 20 mai 2018, avec Ewa et Valérie nous sommes allés grimper dans les Calanques au Plateau de Castelvieil. La veille nous avons grimpé au Cap Canaille.
Ce jour nous avons parcouru le Toit Branlant, 165 mètres, 6a maximum. Voie peu équipée, prévoir friends et coinceurs…
Ouverte en 1969 par Bruno Dineur et François Guillot, comme toutes les voies Guillot…ça grimpe!
Ah j’oubliais, l’accès par les acrobatiques rappels de la Traversée Sans Retour, puis 2 longueurs au-dessus de l’eau constituent un ensemble émoustillant!
Ewa dans la 3ème longueur, 5c :
Samedi 19 mai 2018, avec Valérie, après avoir grimpé 2 vauriens, 3 canailles nous avons terminé la journée dans une autre très belle voie, le Syndrome de lime, 170 mètres, 6b+ maximum.
Valérie dans la 5ème longueur, 6b puis 5c+ :
Samedi 19 mai 2018, avec Ewa et Valérie au Cap Canaille nous avons grimpé la superbe voie : 2 vauriens, 3 canailles, 140 mètres 6a+ maximum.
Ewa dans la dernière longueur :
Samedi 05 mai 2018, avec Laure sur la sublime paroi d’Aiglun nous avons refait Dissipation 250 mètres ED-, 6c+ maximum, 6b+ obligatoire. EXCEPTIONNEL!
8 longueurs toutes de jolies à splendides :
– L1 : 6a+ pas facile
– L2 : 6a+ traversée impressionnante mais pas dure
– L3 : 6b superbe gouttes d’eau dans du rocher rouge!
– L4 : 6c pas commode, un pas obligatoire dans les 6b+, rocher moins beau
– L5 : 6b+/c, on grimpe pour des longueurs telles que celle-là…
– L6 : 6c+ rocher et ambiance délirante, départ intense, crux vers la fin pas commode d’autant que le point est mal placé.
– L7 : 6b rocher gris dément, de bons trous parfois très très loin, bien engagé!
– L8 : la fakir… 6a+/6b magnifique encore sur du rocher magique et étonnamment différent.
– L9 : 4a sans autre intérêt que de sortir de la paroi.
Plein gaz sur le beau rocher d’Aiglun, Laure dans la 6ème longueur 6c+ :
Lundi 16 avril 2018, avec Mathide et Paul nous sommes allés grimper à la Dalle à l’Oiseau, très joli secteur du site d’escalade de la Turbie, idéal du 4b au 6c.
Paul sur le plus beau rocher de la Dalle à l’Oiseau :
Vendredi 9 mars, avec Tom nous avons grimpé Dissipation à Aiglun ED-, 300m. Malgré les pluies abondantes du mois de mars, nous avons grimpé au sec. Il y a trés peu de prises mouillées dans ce rocher jaune/orange. Une grande voie fantastique.
Tom dans L7, un 6B d’anthologie à l’équipement aéré :
Le samedi 17 et dimanche 18 Mars, dans le cadre de la Formation Alpinisme de Guides06 nous avons fait un parcours d’arête la Sainte-Victoire. Le mauvais temps étant récurrent sur le Mercantour, la montagne de la Sainte-Victoire est un excellent plan B. Nous avons fait l’enchaînement arête des Moussaillons + Arête du Jardin + Arête de la Croix. Un parcours idéal pour peaufiner ses manips de corde, recherche d’itinéraire et pause de protection.
Christophe en tête dans l’arête des Moussaillons :
Vendredi 22 décembre, avec mon père nous avons profité d’une belle journée d’hiver pour aller dans Les Calanques. L’objectif du jour était la Grande Arête du Devenson, TD-. C’est un itinéraire ouvert en 1949 par Robert Gabriel, Geneviève et Georges Livanos. Après le Linceul et La Coryphène, c’est la troisième fois en un mois que je viens dans le secteur. Et comme les deux fois précédentes, nous avons passé une superbe journée. Pas un chat, grand beau et une belle voie ouverte par Le Grec (c’est toujours sympa de faire une voie Livanos !).
La dernière longueur en V+, magnifique cheminée :
La Coryphène, c’est une voie mythique des Calanques ouverte en 1967 par Claude Cassin et Joël Coqueugniot.
N’importe quel grimpeur rêverait d’ouvrir ce genre d’itinéraire.Un accès complexe, des rappels déversants et pendulaires pour atterrir sur une petite terrasse 5 mètres au dessus de l’eau, puis de raides cheminées en terrain d’aventure pour s’en échapper : tout ce que les Calanques ont de mieux !
Alors quand Tom me propose de l’accompagner pour faire cette voie qui trotte dans un coin de ma tête, j’étais pressé d’y aller.
Rappel pendulaire au dessus de l’eau, il faut garder le balan ou jouer du lasso pour rejoindre la plateforme de départ :
Dimanche 26 Novembre, avec mon père nous avons grimpé dans les Calanques. Le fort mistral étant annoncé, nous devons trouvé un endroit à l’abri du vent du nord. La Calanques de l’Oule est un cirque orienté plein sud, ça sera parfait. Une voie historique parcours ce versant sud : Le Linceul. Une voie ouverte en 1965 par les célèbres frêres Kelle et Robert Mandin.
L’arrivée à R1 sur un rocher magnifique, le tout dans un cadre à couper le souffle : bienvenue dans les Calanques !
Le 11 Novembre 2017, avec Pierre-Henry, Nicolas et Sebastien, nous avons fait une grande voie à la Sainte-Victoire. Au programme le classique enchaînement Arêtes des Moussaillons + Arête du Jardin + Arête Sud-Ouest de la Croix. Plus de 300 mètres d’escalade en 5B max. Désireux d’apprendre les techniques de progression, Pierre-Henry et Nicolas formeront une cordée autonome tout au long de la journée.
Sebastien et Nicolas sur l’arête du Jardin :
