Après notre ascension de l’aiguille de l’M, la même équipe s’est rendue au refuge Albert 1er pour tenter de gravir l’aiguille du Tour sud (3542m) par le couloir de la table (250m, AD-).
Antoine au sommet de l’aiguille du Tour, magique !
Après notre ascension de l’aiguille de l’M, la même équipe s’est rendue au refuge Albert 1er pour tenter de gravir l’aiguille du Tour sud (3542m) par le couloir de la table (250m, AD-).
Antoine au sommet de l’aiguille du Tour, magique !
En ce début de saison estivale, pour le pont de l’ascension (le bien nommé), nous avons réalisé 4 belles journées d’alpinisme autour de Chamonix. La première a été dédiée à l’escalade de l’aiguille de l’M (2844m) par son arête NNE (D-, 180m). L’équipe se composait cette année d’Antoine, Tanguy, Sylvain, et notre ami et aspirant-guide Martin.
Justement, Martin se régale à guider la cordée de tête, ici dans la 5ième longueur (5b) :
Dimanche 14 et lundi 15 juillet, avec Grégory et Delphine, nous nous sommes retrouvés pour découvrir le secteur de la Pilatte, aux sources du Vénéon dans le massif de l’Oisans. Les possibilités d’ascensions y sont nombreuses. Pour ne citer que les classiques, nous avions le choix entre les Bans (3669m), la pointe de la Pilatte (3476m), la pointe des Bœufs Rouges (3516m), le mont Gioberney (3352m). Les conditions météorologiques délicates nous ont naturellement orientés vers ce dernier et sa très classique arête Nord-Est.
Cet itinéraire, tracé rouge sur la photo ci-dessous, a été ouvert par Coolidge, Almer (père) et Bleuer, le 21 juillet 1873 (mais sans chien cette fois-ci), 10 jours pile après la première du Rateau (3809m) :